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FUITE... | |
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Il ne me faut pas…. mordre les soirs de songes. Il ne me faut pas porter le fardeau de la passion. Rien ne m’ allége ma fatigue, et me confére le roucoulement de pigeons. Le départ me désire, quand mes paumes récoltent l’épi de girafes. La tristresse me retrouve, quand je me réfugie dans les roses portant les étendues de l’ascension………. …………………………………. Alors, laisse moi.. fuir de mon âme, des fragments de cœur vers le hennissement de l’absence Il ne me faut pas… frapper le frisson du jour, boire le vin du retour. Il ne me faut pas mordre l’amour et les soirs de rivages…………
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