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PASSAGE... |
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Sortant de son espace… descend la rouille de rêve brisé. Il fait flotter son image.. Il allume le cri d’égorgé... Il passe en dessinant la pâleur du papillon, son baiser pendu sur la fenêtre de l’absence....... afin qu’il découvre du temps dont l’utilité se perde dans le passage du lieu pour qu’il sache que la mort vient dans la rotation de la montre dans le rampement des minutes elle le mâche comme un oiseau tombé dans un trou d'un serpent..... éteignant la luisance de son désordre… ! |