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MORT |
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إلى صبحي حليمة |
A Soubhi HALIME | |
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La ville se noye dans le bruit de ses marchés, sans qu’elle voit un enfant écartant le narcisse de sa mort. Il ne reste pas d’air ou d’eau pour que l’amant verse, dans la terre, de la folie ou des roses, afin qu’il demande les pas des champs où un désir ou une lointaine envie se réfugie dans ses utérus. Il ne reste pas… ici………. ou là bas... une nudité qui lave les cœurs de leur aridité... L’amant s’est dérouté.... Il n’y a pas un coin pour qu’il repose dans son ombre.... ! Il n’y a pas de terre couvrant sa mort… !?
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