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Apostasie… |
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Il n’ y a plus avec moi que Des poches qui font tomber les rêves et l’absence Il n’ y a plus avec moi que les fenêtres acrochant des lys Son odeur tombe pour des martyres morts par l’étonnement de l’illusion D’une chose qui affecte la poitrine par la lamentation Alors c’est vainement que j’éteins la folie de pays… ! Que je débats avec les diables De la distraction du sang et le fruit de la fin c’est vainement que j’aime tandis que l’innocence de cœurs est effacée par l’apostasie des chevaux...?
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